Les profondeurs du chaudron s’enflamment et se troublent.
Rien n’est vue plus rien que l’opale
Frôlant les cordes d’azur pâle.
L’oisive lascive demeure
Bras ouverts à cet amour qui tue,
Et la rend si lâche.
Son nez en rotonde alors culmine
En un sillon d’étoiles galactescent
Et sa bouche, édentée, rumine
Un fiel abscons, luminescent.